Les sambas professionnels, pourquoi ?

Lieu de formation et de perfectionnement pour la jeunesse gabonaise, les Sambas Professionnels restent le cadre dans lequel l’on reçoit une formation de qualité.

Et cette année, la règle n’y a pas dérogé.

Séminaire de formation et d’échanges de compétences, les Sambas Professionnels ont connu cette année leur troisième édition, à Libreville, au Gabon, au complexe scolaire Michel Dirat, du 30 mai au 4 juin derniers. Certains pourraient penser qu’il s’agirait encore d’un énième séminaire, mais détrompez-vous! Bien plus qu’un évènement de formation, les Sambas Professionnels donnent l’opportunité à la jeunesse gabonaise, en quête de formation, de participer à des ateliers d’excellence, tels que l’audiovisuel, le journalisme, le Web-Business, la communication et le management par le sport ou encore le Mobaday, concept crée par le producteur Amobe Mevegue. Le fondateur de la chaine de télévision Ubiznews, a tenu pendant 5 jours et durant deux heures chaque jour et toute la journée le samedi 4 juin, un standup, en compagnie du pro-samba de l’atelier ” Financement de projets”, Ismail Lahsini, devant tous les participants, afin de parler des rêves des uns et des autres, des clés pour les réaliser et surtout des mots pour booster la jeunesse gabonaise. Un atelier unique en son genre dans la famille des évènements de ce type.

Dans un pays où l’accès à la formation de qualité est toute relative, les Sambas Professionnels se veulent être une référence en matière de formation sur le continent. Pour celà, cette année, la troisième édition avait encore fait appel à des formateurs de renom, comme la journaliste Joëlle Edédéghé Ndong, qui avait animé l’atelier “Journalisme”, Ismail Lahsini, coach de l’atelier “financement de projets” ou encore l’ancien président de l’Olympique de Marseille, Pape Diouf, en “communication et management sportif”.

Ces enseignants sont ceux qui se font de mieux, formant gratuitement la jeunesse gabonaise afin qu’elle soit au même niveau que la concurrence.

En espérant que l’année prochaine, le nombre de participants dépassera les 150 de cette troisième édition. 

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